Pour Francois qui à du nous quitter en milieu de partie.
Tandis que nous explorions les catacombes, apres avoir fouillé une statue nos aventuriers ont découvert un passage secret menant à une salle contenant divers pompes hydrauliques. Nous avons secouru un nains qui nous as dit qu'il fallait refermer les vannes sinon le barrage allait ceder. Avec de l'huile de coude nous avons eviter la catastrophe.
De retour a l'exploration cette fois nous avons decouvert une crypte, Baldur à fouillé un cercueil et a trouver une épée luxueuse orné de pierres précieuses, mais à part briller elle n'était pas tres efficace.
Tout à ces recherches, nous entendions un gémissement dans la piece d'a coté. C'était pantecric le nain qui apres avoir perdu une semelle était en train d'effectuer un rituel magique. Hélas c'était trop tard pour l'arreter car le bougre pris de spasmes se transformait.
Devinez en quoi, je vous le donne en mille... en un dragon noir. Baldur frappa la pyramide ou un dragon encore plus imposant etait emprisonné, c'est là qu'il cassa sa nouvelle épée. Heureusement les autres étaient là pour frapper le dragon. Jusqu'a que ce dernier fasse un jet d'acide qui occis Tuk et Grenda. La naine et le moine hors course, Julain avec sa dague empoisonnée blessa gravement pantecric avant de lui aussi se faire avoir. Ne restait que Baldur en jeu avec une morsure recu il ne lui restait que dix points de vie. Heureusement le dragons en avait encore moins. Frappant avec l'energie du desespoir Baldure triompha de la bête, qui dans un frémisssement s'écroula au sol. Ne savant pas quoi faire il stabilisa le moine, alla voir la naine mais celle ci etait morte, et Julain c'était stabilisé tout seul. Emportant ce dernier Baldur retourna dans la crypte, avant que l'eau n'envahisse tout, il déposa julian dan un cerceuil, qui flotta, à la recherche d'une issue. Retirant les gravats il nagea jusqu'a une chute d'eau et se fit projeter hors du barrage. Il avait survécut. Ouf c'était moins une....
Voilà pour l'histoire, Baldur remercie ces compagnons à titre posthume et notre maître de jeu toujours impérial.